Notre dernier projet s’est clôturé par une promenade dans le quartier du Boson. Christelle Nicolas et Carolina E. Santo nous ont convié·es à une errance poétique et politique autour d’un quartier en transformation, pour une rencontre avec l’espace urbain, empli d’histoires, de mémoires, de beautés et de ratages sociaux.
Nous travaillons à la saison prochaine et nous sommes heureux de vous inviter à découvrir des pratiques, des lieux, des institutions et des artistes qui œuvrent sur les « bords ».
Un aperçu de notre programmation 25-26
En octobre, L’appétit des indigestes nous présente deux spectacles : Ourobouros et L’homme d’onze heures moins le quart. Ce collectif, dans sa pratique, s’interroge sur la vision qu’une société a de la normalité et de la folie.
En novembre, le duo Pauline Tsikalakis et Flavio Montrone, avec leur projet Ce qui nous lie, propose une présentation performative d’un projet itinérant mené depuis cinq ans à la rencontre des petites et grandes histoires glanées sur les routes.
En janvier/février, nous invitons des Conférences Gesticulées et des propos singuliers… autour de partages de paroles, de récits où dialoguent intime, social et politique.
En avril, le Boson sera investi durant deux semaines par le Club Antonin Artaud, pour des moments festifs et joyeusement partageables autour de ce qui s’invente, se tisse et se trame dans un centre de jour.
En juin, durant une semaine, une nouvelle occupation des lieux en compagnie d’une start-up sociétale post-charité : le Syndicat des Immenses (acronyme de Individu dans une Merde Matérielle Énorme mais Non Sans Exigences). Ça risque d’être bien intense.
Pour le Boson, la saison 25/26 sera l’occasion de placer les bords au centre !
Pour nous, juillet, c’est la pause… à la rencontre des cuicuis et roucoulades divers, des paresses prolongées, des absences somnolentes, des lectures à n’en plus finir et des petites escapades pour se dire que le monde est bien grand.
On vous souhaite un bel été.